Je ne m’étais pas vraiment

Brûlé les ailes

Mais le charme évidement

Intemporel

De vos grands yeux noirs

M’avait figé d’un regard

Je suis parti bien loin

De vos coups bas

Quand j’ai compris combien

Vous ne m’aimiez pas

Et qu’un sursaut de survie

M’a fait courir dans la nuit

Auprès de vous où vais-je donc

Auprès de vous

Auprès de vous, encore

Jusqu’à la mort

Auprès de vous où vais-je donc

Auprès de vous

Auprès de vous, encore

Vous aviez fait de moi

Le jouet fragile

De vos tourments parfois

J’étais la cible

Mais le cœur a ses raisons

Et je demandais pardon

Ma petite cage dorée

Qu’elle était belle

Quand je me tenais serré

Dans la ruelle

Ou mes seuls horizons

Étaient vos mains sur mon nom

Auprès de vous où vais-je donc

Auprès de vous

Auprès de vous, encore

Jusqu’à la mort

Auprès de vous où vais-je donc

Auprès de vous

Auprès de vous, encore

Je n’ai plus peur de vous

Vos jeux cruels

Et la corde à mon cou

N’est qu’une ficelle

Dont j’ai lâché prise

Je suis loin de votre emprise

Si je revois un jour

Vos sourires faux

Balancés au détour

Des jolis mots

Je ne reviendrai jamais

Dans vos enfer bien pavé

Auprès de vous où vais-je donc

Auprès de vous

Auprès de vous, encore

Jusqu’à la mort

Auprès de vous où vais-je donc

Auprès de vous

Auprès de vous, encore

Auprès de vous où vais-je donc

Auprès de vous

Auprès de vous, encore

Jusqu’à la mort

Auprès de vous où vais-je donc

Auprès de vous

Auprès de vous, encore